Mon amour pour Tim est infini
Replonger dans le conte de son enfance, ajouter un poil de noirceur burtonnienne..et là c'est la magie de l'image. La 3D contrairement à Avatar trouve toute sa force et tout son intérêt dans ce film (notamment dans la scène de la photo ci-dessus)
Johnny, bien que mosse et remosse est hilarant en Mad Hatter et ma préférence va à ce gros nounours de Cheshire Cat, félin malicieux, encore plus choupi qu'une némésis.
Le petit doigt levé d'Anne Hataway, la grosse tête d'Helena Bohnam Carter, c'est le livre qui s'anime sous nos yeux et ça je dis respect à Burton qui a su préserver l'oeuvre originale en lui donnant sa touche sombre.